Mana 850 Atomique
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Gib
Filou56
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SCOOT-MANIA Site Officiel BMW C600 et Gilera GP800/SRV :: Le forum des marques moto. :: Les Italiennes (Ducati, Aprilia, Cagiva, etc)
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Mana 850 Atomique
Automatique
http://www.motoservices.com/selection/Aprilia-Mana-850.htm
Pour le scoutard
http://www.motoservices.com/selection/Aprilia-Mana-850.htm
Pour le scoutard
Filou56- VIP
- Nombre de messages : 1977
Age : 68
Localisation : Liège -B-
Machine : Audi A3 , automatique ( encore une leçon du scoot ) avec parquage automatique ( c'est mon côté pourri)
Re: Mana 850 Atomique
:bravo: :bravo: donc j attend encore un peu c mieux que le gp peut étre !!!
Gib- Maniac+
- Nombre de messages : 4477
Age : 68
Machine : un tmax original factory
Re: Mana 850 Atomique
Aprilia Mana 850, la moto double face
Avec sa Mana, Aprilia révolutionne la moto en proposant, enfin, les avantages de l’automatisme du scooter sur une vraie moto. Facile et fonctionnelle en ville pour la semaine, joueuse et sportive pour le week-end, la Mana vous offre deux motos en une et même un coffre pour loger votre casque à l’arrêt. De quoi séduire tous ceux qui lorgnent vers le scooter sans oser franchir le pas…
30 ans d’attente
La dernière moto automatique remonte aux années 70 avec les Honda CB750 et 400 (1976) et à la Moto Guzzi Convert (1975). Des machines disposant d’une transmission par convertisseur à deux rapports (court et long) et qui ont vite rejoint les musées de leur marque faute d’intérêt et de puissance. Il en va tout autrement aujourd’hui où le scooter convertit de plus en plus de motards au quotidien entres ceux qui achètent un scooter 125 pour la semaine et gardent une moto fun pour les balades du week-end, où ceux qui optent pour le Yamaha T-max. La Mana vise ces deux marchés, mais aussi tous les motards qui n’ont pas encore osé franchir le pas. Elle a pour atout d’être une vraie moto Sport et son pilote sera traité d’égal à égal par les autres motards et pas classé dans la catégorie « renégats » comme s’ils étaient passé au scooter !
Tests prolongés
Il aura fallu presque un an entre la présentation au Salon de Milan 2006 et le lancement de cette Mana, première moto automatique. Il nous tardait de pouvoir répondre à la question qui était de savoir si l’on avait un scooter déguisé en moto ou une moto à part entière. Le style de la Mana reste alléchant avec son cadre treillis tubulaire et ses équipements de sportive avec fourche inversée et frein radiaux. Tout d’un vrai Roadster moderne. Le moteur est un V2 calé à 90° de 850 cm3 refroidit par eau qui reprend la même base que celui du Gilera GP800. Sur cette architecture, Aprilia a défini son propre cahier des charges avec une transmission par variateur, puis une chaîne finale, pour conserver un style moto. Entre les deux, une gestion électronique de l’écartement des flasques du variateur suivant le mode choisi. Cette attente d’un an a permis de parfaitement mettre au point la transmission et la cartographie de cette moto. Car non seulement, on peut choisir son mode de transmission, auto ou manuel, mais aussi moduler la courbe de puissance suivant son usage : sport, touring ou pluie…
Pas de boîte de vitesses
En mode manuel séquentiel, le pilote passe les pseudos rapports au régime qu’il décide. Il est aidé par des diodes vertes et rouges qui signalent la montée en régime et l’approche de la zone rouge. Un moteur électrique verrouille la position d’écartement des flasques du variateur, comme sur le scooter Suzuki Burgman 650 pour définir un rapport de transmission fixe. On peut passer les rapports soit à main gauche avec les poussoirs + et -, soit au pied avec un sélecteur qui n’en a que l’apparence et qui n’est qu’un contacteur puisqu’il n’y a pas de boîte de vitesses ! On a donc pas la même consistance au bout du pied. Ce n’est pas très grave, car vous abandonnerez vite ce mode au fil des kilomètres. C’est amusant, mais c’est tellement agréable en automatique. Finalement, le sélecteur est plus là pour ne pas rebuter les puristes, car une moto sans sélecteur ne serait pas une vraie moto pour un bien grand nombre de motard.
Une réactivité immédiate
Il est temps de découvrir les modes automatiques, où l’électronique va gérer la vivacité de l’accélération suivant le régime moteur, la vitesse de la moto et l’ouverture des gaz. Et cela suivant trois modes qui vous sont proposés : Sport, Touring et Pluie. Si le mode pluie s’apparente plus à une conduite scooter, avec des prises de régime modestes et un silence totale de fonctionnement, le mode sport est un régal avec des accélérations diablement probantes et une réponse immédiate à l’ouverture des gaz. Le plus impressionnant est de disposer d’un vrai frein moteur, phénomène inconnu avec un variateur de scooter. Le mode Touring est plus adapté à la ville ou au duo, mais vraiment il faut essayer cette Mana pour se convaincre du bonheur que procure cette transmission qui ne souffre d’aucun reproche. On regrette même d’avoir attendu si longtemps pour en profiter, tant l’agrément est permanent dans toutes les conditions de roulage.
Toujours performant
En ville, le système auto fait vite la démonstration de son efficacité et de sa facilité d’utilisation, il faut donc voir sur la route ce que cela donne. Dès la sortie de la ville de Turin, les derniers contreforts des Alpes nous permettent de statuer rapidement avec des lacets de montagne et quelques belles enfilades. La Mana est taillée comme un Roadster sportif avec un centre de gravité assez bas, les suspensions sont souples pour le confort, mais ne nuisent pas au comportement routier. L’avant est collé au bitume et un peu lourd mais permet de bien inscrire la Mana dans les courbes. La fourche inversée vient parfois à talonner sur les freinages très appuyés grâce au double disque avec étriers radiaux 4 pistons. On aurait bien vu un ABS, pour ôter tout souci au pilote, mais ce sera à partir de juillet 2008 qu’il sera proposé en option. Sur route, la Mana prend de l’angle et se conduit avec efficacité que l’on soit en mode manuel ou auto sport. Le frein moteur et la réponse immédiate à la poignée de gaz, vous feront même opter rapidement pour le mode auto, tant les reprises sont faciles et promptes. Aucune perte de temps, même si le changement de rapports se fait sans couper les gaz, vu qu’il n’y a pas de boîte de vitesses traditionnelle à pignons.
Fonctionnelle à tous les niveaux
A noter que le mode manuel est également géré car il est inutile de rétrograder au feu rouge. La Mana redescend automatiquement les rapports inférieurs dès que le régime est trop bas pour ne pas caler et revient en première à l’arrêt. A ce sujet, comme il n’y a pas de point mort, la Mana reçoit un frein de stationnement bien pratique pour stationner sur des terrains en pente car il n’y a qu’une béquille latérale. Celle-ci est munie d’une sécurité qui coupe le moteur si l’on vient à accélérer, mais on peut laisser tourner le moteur au ralenti stationné sur la béquille. On a même essayé de changer de mode en roulant et bien, la Mana s’exécute sans piper mot.
Le troisième héritage du scooter est le coffre ; non pas sous la selle, mais à la place du réservoir, au-dessus du moteur. Gilera avait opté pour ce principe dans les années 90 sur sa CX 125 et BMW, plus récemment, sur sa 650 Scarver. Ici, le coffre s’ouvre depuis un poussoir électrique au guidon et il est muni d’un vérin. On y trouve une prise 12 volts ainsi qu’un éclairage, et un casque intégral y rentre sans problème. Faute de place au-dessus du moteur, le filtre à air se retrouve donc apparent et adopte un look à la Harley avec un petit carter chromé reprenant des inscriptions circulaires. Et le réservoir, me direz-vous ? Il se retrouve sous la selle passager. Cette dernière bascule vers l’avant pour accéder au bouchon du réservoir de 16 litres. Le passager n’est pas mal installé avec une selle longue, des repose-pieds pas trop haut perchés et un arceau pour se tenir.
Aucun signe extérieur de concession au fonctionnel
Avec sa Mana, Aprilia réussit non seulement à convertir le plus inconditionnel des motards à l’automatisme et au fonctionnel, sans nuire toutefois au comportement sportif, ni à l’esthétique et c’est çà le plus fort. Rien ne distingue la Mana d’un Roadster sport dernier cri : cadre treillis, bras oscillant alu, amortisseur arrière désaxé, fourche inversée, freins à pinces radiales, etc. Même son style élégant, garde tout le caractère d’une moto italienne pure et dure. Seule l’absence de levier d’embrayage et de compte-tours vient trahir son automatisme… Le tableau de bord ne comporte, en effet, pas de compte-tours mais juste quatre diodes signalant l’arrivée vers la zone rouge. Pour le reste tout y est, de la température d’air à la vitesse, mais aussi la consommation instantanée et moyenne, sans oublier la montre. La partie centrale digitale indique le mode de transmission et, en mode séquentiel, le rapport de 1 à 7. La maintenance donne un changement de la courroie du variateur tous les 20 000 km. Lors de ce test, nous n’avons pas pu atteindre la vitesse maxi (elle est donnée pour 200 km/h réels) mais le comportement jusqu’à 180 km/h compteur est sans remarque négative avec une moto précise et stable.
A essayer d’urgence
Aprilia s’ouvre un nouveau marché car la marque est surtout connue en moto pour ses machines sportives (RSV 1000 et 550 SVX). Ce qui est sûr c’est que l’essayer c’est l’adopter, car cette prise de contact nous a vraiment convaincus de son intérêt et de ses qualités. La Mana répond, à 200%, à l’usage que l’on a d’une moto : la semaine en ville pour aller travailler et le week-end pour les balades sportives. Deux motos en une et même le tarif est convenable à 9200 € !
Avec sa Mana, Aprilia révolutionne la moto en proposant, enfin, les avantages de l’automatisme du scooter sur une vraie moto. Facile et fonctionnelle en ville pour la semaine, joueuse et sportive pour le week-end, la Mana vous offre deux motos en une et même un coffre pour loger votre casque à l’arrêt. De quoi séduire tous ceux qui lorgnent vers le scooter sans oser franchir le pas…
30 ans d’attente
La dernière moto automatique remonte aux années 70 avec les Honda CB750 et 400 (1976) et à la Moto Guzzi Convert (1975). Des machines disposant d’une transmission par convertisseur à deux rapports (court et long) et qui ont vite rejoint les musées de leur marque faute d’intérêt et de puissance. Il en va tout autrement aujourd’hui où le scooter convertit de plus en plus de motards au quotidien entres ceux qui achètent un scooter 125 pour la semaine et gardent une moto fun pour les balades du week-end, où ceux qui optent pour le Yamaha T-max. La Mana vise ces deux marchés, mais aussi tous les motards qui n’ont pas encore osé franchir le pas. Elle a pour atout d’être une vraie moto Sport et son pilote sera traité d’égal à égal par les autres motards et pas classé dans la catégorie « renégats » comme s’ils étaient passé au scooter !
Tests prolongés
Il aura fallu presque un an entre la présentation au Salon de Milan 2006 et le lancement de cette Mana, première moto automatique. Il nous tardait de pouvoir répondre à la question qui était de savoir si l’on avait un scooter déguisé en moto ou une moto à part entière. Le style de la Mana reste alléchant avec son cadre treillis tubulaire et ses équipements de sportive avec fourche inversée et frein radiaux. Tout d’un vrai Roadster moderne. Le moteur est un V2 calé à 90° de 850 cm3 refroidit par eau qui reprend la même base que celui du Gilera GP800. Sur cette architecture, Aprilia a défini son propre cahier des charges avec une transmission par variateur, puis une chaîne finale, pour conserver un style moto. Entre les deux, une gestion électronique de l’écartement des flasques du variateur suivant le mode choisi. Cette attente d’un an a permis de parfaitement mettre au point la transmission et la cartographie de cette moto. Car non seulement, on peut choisir son mode de transmission, auto ou manuel, mais aussi moduler la courbe de puissance suivant son usage : sport, touring ou pluie…
Pas de boîte de vitesses
En mode manuel séquentiel, le pilote passe les pseudos rapports au régime qu’il décide. Il est aidé par des diodes vertes et rouges qui signalent la montée en régime et l’approche de la zone rouge. Un moteur électrique verrouille la position d’écartement des flasques du variateur, comme sur le scooter Suzuki Burgman 650 pour définir un rapport de transmission fixe. On peut passer les rapports soit à main gauche avec les poussoirs + et -, soit au pied avec un sélecteur qui n’en a que l’apparence et qui n’est qu’un contacteur puisqu’il n’y a pas de boîte de vitesses ! On a donc pas la même consistance au bout du pied. Ce n’est pas très grave, car vous abandonnerez vite ce mode au fil des kilomètres. C’est amusant, mais c’est tellement agréable en automatique. Finalement, le sélecteur est plus là pour ne pas rebuter les puristes, car une moto sans sélecteur ne serait pas une vraie moto pour un bien grand nombre de motard.
Une réactivité immédiate
Il est temps de découvrir les modes automatiques, où l’électronique va gérer la vivacité de l’accélération suivant le régime moteur, la vitesse de la moto et l’ouverture des gaz. Et cela suivant trois modes qui vous sont proposés : Sport, Touring et Pluie. Si le mode pluie s’apparente plus à une conduite scooter, avec des prises de régime modestes et un silence totale de fonctionnement, le mode sport est un régal avec des accélérations diablement probantes et une réponse immédiate à l’ouverture des gaz. Le plus impressionnant est de disposer d’un vrai frein moteur, phénomène inconnu avec un variateur de scooter. Le mode Touring est plus adapté à la ville ou au duo, mais vraiment il faut essayer cette Mana pour se convaincre du bonheur que procure cette transmission qui ne souffre d’aucun reproche. On regrette même d’avoir attendu si longtemps pour en profiter, tant l’agrément est permanent dans toutes les conditions de roulage.
Toujours performant
En ville, le système auto fait vite la démonstration de son efficacité et de sa facilité d’utilisation, il faut donc voir sur la route ce que cela donne. Dès la sortie de la ville de Turin, les derniers contreforts des Alpes nous permettent de statuer rapidement avec des lacets de montagne et quelques belles enfilades. La Mana est taillée comme un Roadster sportif avec un centre de gravité assez bas, les suspensions sont souples pour le confort, mais ne nuisent pas au comportement routier. L’avant est collé au bitume et un peu lourd mais permet de bien inscrire la Mana dans les courbes. La fourche inversée vient parfois à talonner sur les freinages très appuyés grâce au double disque avec étriers radiaux 4 pistons. On aurait bien vu un ABS, pour ôter tout souci au pilote, mais ce sera à partir de juillet 2008 qu’il sera proposé en option. Sur route, la Mana prend de l’angle et se conduit avec efficacité que l’on soit en mode manuel ou auto sport. Le frein moteur et la réponse immédiate à la poignée de gaz, vous feront même opter rapidement pour le mode auto, tant les reprises sont faciles et promptes. Aucune perte de temps, même si le changement de rapports se fait sans couper les gaz, vu qu’il n’y a pas de boîte de vitesses traditionnelle à pignons.
Fonctionnelle à tous les niveaux
A noter que le mode manuel est également géré car il est inutile de rétrograder au feu rouge. La Mana redescend automatiquement les rapports inférieurs dès que le régime est trop bas pour ne pas caler et revient en première à l’arrêt. A ce sujet, comme il n’y a pas de point mort, la Mana reçoit un frein de stationnement bien pratique pour stationner sur des terrains en pente car il n’y a qu’une béquille latérale. Celle-ci est munie d’une sécurité qui coupe le moteur si l’on vient à accélérer, mais on peut laisser tourner le moteur au ralenti stationné sur la béquille. On a même essayé de changer de mode en roulant et bien, la Mana s’exécute sans piper mot.
Le troisième héritage du scooter est le coffre ; non pas sous la selle, mais à la place du réservoir, au-dessus du moteur. Gilera avait opté pour ce principe dans les années 90 sur sa CX 125 et BMW, plus récemment, sur sa 650 Scarver. Ici, le coffre s’ouvre depuis un poussoir électrique au guidon et il est muni d’un vérin. On y trouve une prise 12 volts ainsi qu’un éclairage, et un casque intégral y rentre sans problème. Faute de place au-dessus du moteur, le filtre à air se retrouve donc apparent et adopte un look à la Harley avec un petit carter chromé reprenant des inscriptions circulaires. Et le réservoir, me direz-vous ? Il se retrouve sous la selle passager. Cette dernière bascule vers l’avant pour accéder au bouchon du réservoir de 16 litres. Le passager n’est pas mal installé avec une selle longue, des repose-pieds pas trop haut perchés et un arceau pour se tenir.
Aucun signe extérieur de concession au fonctionnel
Avec sa Mana, Aprilia réussit non seulement à convertir le plus inconditionnel des motards à l’automatisme et au fonctionnel, sans nuire toutefois au comportement sportif, ni à l’esthétique et c’est çà le plus fort. Rien ne distingue la Mana d’un Roadster sport dernier cri : cadre treillis, bras oscillant alu, amortisseur arrière désaxé, fourche inversée, freins à pinces radiales, etc. Même son style élégant, garde tout le caractère d’une moto italienne pure et dure. Seule l’absence de levier d’embrayage et de compte-tours vient trahir son automatisme… Le tableau de bord ne comporte, en effet, pas de compte-tours mais juste quatre diodes signalant l’arrivée vers la zone rouge. Pour le reste tout y est, de la température d’air à la vitesse, mais aussi la consommation instantanée et moyenne, sans oublier la montre. La partie centrale digitale indique le mode de transmission et, en mode séquentiel, le rapport de 1 à 7. La maintenance donne un changement de la courroie du variateur tous les 20 000 km. Lors de ce test, nous n’avons pas pu atteindre la vitesse maxi (elle est donnée pour 200 km/h réels) mais le comportement jusqu’à 180 km/h compteur est sans remarque négative avec une moto précise et stable.
A essayer d’urgence
Aprilia s’ouvre un nouveau marché car la marque est surtout connue en moto pour ses machines sportives (RSV 1000 et 550 SVX). Ce qui est sûr c’est que l’essayer c’est l’adopter, car cette prise de contact nous a vraiment convaincus de son intérêt et de ses qualités. La Mana répond, à 200%, à l’usage que l’on a d’une moto : la semaine en ville pour aller travailler et le week-end pour les balades sportives. Deux motos en une et même le tarif est convenable à 9200 € !
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Re: Mana 850 Atomique
Faut voir ce qu' elle donne en Noir...Parce que la rouge multicolor...C' est pas top...
Sasha- VIP
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Age : 42
Localisation : Ajaccio
Machine : Tmax 530
Re: Mana 850 Atomique
Pourquoi pas ?
chris83- Baby maniac
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Age : 50
Localisation : six fours les plages
Machine : KTM 990 SM
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