Nouveau ducati

Le Monster 696 est fin prêt
Avec le design et l’architecture de son prédécesseur en héritage, le 696 incarne l’esprit Monster qui trouve son expression au travers de chacun de ses composants. Procurant des sensations pures et inégalées jusqu’à présent, le Monster est la définition même de la moto qui allie performance et facilité d’utilisation.

Prêt à débarquer dans tous les Ducati Store et Concessionnaire du monde début avril, le nouveau Monster s’offre à vous en trois coloris : rouge Ducati, noir mat et la couleur actuelle de référence chez Ducati, blanc perle.

Ces derniers jours ont aussi vu l’éclosion d’une version spéciale, plus exaltante. Pré-équipée et dénommée à juste titre Monster 696+, cette version se dote d’accessoires du plus bel effet. Le capot de selle, facilement amovible pour faire place à votre passager favori, confère au Monster de par ses couleurs un aspect à la fois plus sportif et plus harmonieux. On peut aussi noter la greffe d’une tête de fourche inédite qui épouse à merveille les contours de l’instrumentation digitale et renforce le charme sportif du nouveau Monster 696.

Pour satisfaire les Ducatistes - ou Monsteristes - loyaux, un nouveau site Internet (www.monster.ducati.com) totalement dédié à la dernière création issue des usines de Borgo Panigale a été lancé. En quelques clics, vous évoluez à travers un espace interactif recelant d’innombrables informations et chiffres propres au Monster, son histoire, ses données techniques, ses performances, ses lieux de distribution et bien plus encore. Casey Stoner fait une apparition dans la section multimédia qui par ailleurs comprend une vidéo exclusive de la ligne de production et où on voit le Champion du Monde MotoGP 2007 évoluant au guidon d’un 696 lors de sa récente visite à l’usine Ducati.

Le Monster et les possibilités de personnalisation qu’il offre sont indissociables. Son caractère minimaliste se prête parfaitement à cet esprit et à l’interprétation individuelle de chacun des éléments qui le composent. C’est pour cette raison que Ducati se tient prêt et a développé une large gamme d’accessoires et de pièces spéciales. Conçues spécialement pour le Monster 696, ces dernières aideront les possesseurs de 696 à rendre leur moto encore plus unique et originale. En attendant que des images de la nouvelle ligne d’accessoires soient en ligne le 27 mars, un aperçu de ces éléments qui ne peuvent que mettre l’eau à la bouche est d’ores et déjà disponible sur le DESMOBLOG (blog.ducati.com) de Gabriele Del Torchio, Président Directeur Général de Ducati.

Le site Internet spécialement dédié au Monster 696 lie les Ducatistes du monde entier à la firme de Bologne, Italie. Il représente aussi une opportunité pour tout internaute de découvrir et tomber amoureux de la marque Ducati et de la naked dernière génération née à Borgo Panigale.

Il est magnifique ce 696, le seul truc, c'est qu'il ne faut pas mesurer plus de 175cm pour être à l'aise dessus...

je suis d'accord avec toi

Olivier78 a écrit:je suis d'accord avec toi

Puta..... c'est pas normal

Un bizou...un bizou...un bizou...

Aller fait lui le petit, le petit

Essai Ducati Monster 696 : Ducati relance son Monstre




Quel enjeu préoccupe le plus Ducati en 2008 ? Remporter un second titre en MotoGP ? Marquer la saison Superbike avec la 1098 ? Sans doute les deux mon capitaine, mais aussi (et surtout ?) renouveler sa fameuse Monster, l'indétrônable icône des roadsters modernes depuis 15 ans ! Une refonte à haut risque donc, que nous venons justement de tester. Séquence suspense...
Essai du millésime : > 2008
M.a.j. : 09-04-2008

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Ducati Monster 696 : Ducati relance son Monstre


ducati monster 696 desmo twin mostro



Ducati Monster 696 : L'essai complet


La Ducati Monster, l'icône des roadsters modernes, a fêté ses 15 ans. Et oui, déjà. Souvenez vous, Ducati créa la sensation roadster quand la marque dévoila "il Mostro" lors du salon de Cologne à l'automne 1992. La suite, vous la connaissez, des modèles et des cylindrées déclinés à la pelle avec un succès jamais démenti, sauf peut être pour la version équipée de valises latérales intégrées... Une véritable poule aux œufs d'or donc pour la marque et en quelque sorte une garantie commerciale sur laquelle elle s'est amplement reposée. Mais, fatalement, les belles histoires ont toujours une fin, et pour la première génération de Monster, celle-ci vient justement d'arriver, annonçant la naissance d'une relève très attendue pour 2008. Une mise au monde stratégique, entamée avec le premier représentant de cette nouvelle ère, le Monster 696.

Toute nouvelle, toute belle ?


Oubliez les évolutions précédentes, les restylings et autres replâtrages, la nouvelle Monster est une nouveauté singulière. Et pourtant, derrière son nouveau dessin, on reconnaît toujours la fameuse patte maison. Voici sans aucun doute la meilleure recette pour contenter ceux qui se plaignent qu'elle ne change jamais et qui veulent dans le même temps que jamais elle ne change ! On s'en doute, si faire évoluer la Monster à l'aide à de retouches techniques et cosmétiques mineures s'avére assez facile, la refondre complètement relève là du défi. Souvenez-vous des foudres déclenchées par Pierre Terblanche lorsqu'il prit la suite de Massimo Tamburini pour dessiner la 999, descendante de la lignée de l'intemporelle 916 (puis 996 et 998) et qui fit un bide auprès des afficionados du genre malgré des qualité réelles...
Inclinée sur sa béquille, force est de constater que le staff Ducati a bossé dur sur son dernier bébé. Harmonieuse, plutôt audacieuse et en tout cas flatteuse - un jugement certes subjectif - difficile de ne pas s'incliner devant le labeur accompli sur la "Monster 2". Si symboliquement, on passe de 695 à 696 cm3, tout est profondément remanié. Ainsi, le cadre en treillis d'acier est jumelé à une boucle arrière en aluminium, le phare rond s'est aplati et rappelle quelque peu celui de la MV Agusta Brutale (ndlr : ce qui paraît moins évident en situation qu'en photo) ou de la Bimota Delirio (ndlr : il y a de pires références). Le réservoir, toujours façon chat faisant le dos rond, reçoit des écopes pour gaver une boîte à air qui enfle d'un litre. Le dit réservoir contient également un litre de sans plomb supplémentaire. Les pots migrent en position haute et de part et d'autre de la selle. Le bras oscillant, en aluminium également, se voit copieusement renforcé et reçoit une suspension à l'épure inédite. Le tableau de bord, "up to date" et entièrement numérique, regorge d'informations aussi utiles que futiles - très tendance, paraît-il. Enfin, même le logo posé sur le réservoir change de typographie. Mais qu'en est-il en selle de tous ces bouleversements ?

Gare aux attributs


La selle justement, parlons en : pentue dans sa partie arrière, elle obligera monsieur à coller ses attributs au réservoir. Gare aux freinages réflexes ! En revanche, avec seulement 770 mm d'altitude, elle permet de poser les pieds à plat avec un petit mètre soixante-dix. Si la Monster possède toujours cette ligne familière, sa position a évolué. On se retrouve plus près du guidon, le réservoir semblant plus court. Le Guidon, apparaît également moins large que sur la génération des Monster S2R (800 et 1000). Cela favorise les mouvements du hauts du corps, même si l'assise avec la selle en pente et assez large limite les mouvements du bassin. Les repose-pieds se révèlent également moins en arrière et plus bas. Sûr que l'ergonomie apparaît moins typée et plus fonctionnelle sur cette nouvelle Monster 696. En déplaçant la moto à l'arrêt, on se rend compte de son faible poids (161 kg à sec), le plus bas jamais atteint sur une Monster. Ceci est obtenu en partie grâce à l'apport massif d'aluminium, au multiplexage électronique et à la présence de plastique (ensemble phare, tableau de bord extra light).
Contact, une pression sur le démarreur (à assistance électrique comme sur les Multistrada, ce qui ne nécessite plus de laisser le bouton enfoncé lorsqu'on démarre) et le twin desmodromique s'ébroue. La sonorité est connue : le vrombissement du twin de Bologne retentit toujours. Evidemment, les vocalises sont un rien étouffées en raison des normes draconiennes auxquelles les constructeurs doivent faire face. Exit, et ce depuis plusieurs millésimes déjà, les bruits mécaniques d'embrayage et autres, toujours pour les mêmes raisons de chasse aux décibels. Ces mêmes sons qui irritent les détracteurs de la Monster et passionnent les aficionados... En quelques mètres, on constate plusieurs révolutions. Premièrement, la Monster braque assez bien, c'est inédit. Une évolution propre à améliorer ses aptitudes urbaines, même si l'on se coince les pouces en raison de la forme du réservoir. Ensuite, l'embrayage reste toujours aussi doux à actionner (grâce à la commande APTC) et ce depuis la Monster 620 Capirex réplica. Malheureusement, les leviers ne se montrent pas réglables en éloignement et les petites mains auront peine à débrayer ou embrayer facilement. Le moteur propose une bonne progressivité et ne cogne pas dès que l'on passe 2 000 tr/min. En sillonnant les rues de Barcelone, théâtre de ce lancement presse, on se réjouit de l'équilibre, de la maniabilité et de la facilité de ce monstre bien docile.

Un couple Monstrueusement haut perché


Une voie d'insertion sur une "autovía" permet de tester l'accélération. Le moteur prenant ses tours sans inertie, le régime moteur grimpe vraiment vite et le compteur s'affole en même temps que le compte-tours, mais la sensation de traction sur les bras se fait très discrète. On calme le jeu, on passe la seconde et on relance. Si les performances répondent clairement présentes, l'accélération apparaît feutrée. Lors des reprises sur des rapports différents et d'autres accélérations variées, on tente d'imaginer l'apparence des courbes de ce moteur s'il passait au banc : celle de puissance se montrerait sans doute assez linéaire avec une puissance toute en crescendo. Celle de couple pourrait présenter un pic à 6 500 tr/min, puis se déroulerait sans plus de force jusqu'à 9 500 tr/min, seuil de déclenchement du rupteur. Vraiment disponible, la Monster 696 accepte de rouler entre 2 000 tr/min et 9 000 tr/min, avec une souplesse et une volonté très agréable à partir de 3 500 tr/min. Toutefois, si l'on veut sortir franchement d'une courbe serrée, mieux vaut être au dessus de 6 000 tr/min. Dans les montagnes aux abords de Barcelone, la Monster permettait d'être véloce si l'on maintenait le moteur entre 6 500 tr/min et 8 500 tr/min, une plage "de force" assez réduite malgré tout. On devine comment améliorer les reprises : en la faisant tirer plus court. A titre d'exemple, on prend près de 180 km/h en quatrième... Inutile sur un roadster, la vitesse de pointe peut être diminuée au profit des reprises via un changement de pignon (certains propriétaires de Monster 695 ne s'en sont d'ailleurs pas privés). Concernant la qualité de ces reprises, on ne peut être catégorique qu'après un comparatif avec des twins concurrents. Wait and see dit-on outre manche. Que les fans de Ducati se rassurent, la mécanique conserve ses attraits, grâce à un vrombissement de boîte à air très sympathique et des grognements d'échappements présents. Cette relative docilité profitera aussi aux débutant(e)s pour qui la Monster se montrera plus facile. La boîte de vitesses est précise et possède une course de sélection très courte, ce qui favorise les changements de vitesse rapides. Notez aussi que ceux qui choisissent un twin pour le frein moteur en seront pour leurs frais sur la Monster 696. Équipée d'une commande d'embrayage APTC et d'un embrayage à glissement limité (comme sur la 695), elle évite des blocages de roues intempestifs, mais inhibe fortement la décélération motrice. En contrepartie, on se réjouit de garder de la vitesse de passage en entrée de courbe. Et à ce jeu, la petite nouvelle excelle.

Toujours envie de jouer


Lors de l'examen statique, on a pris soin d'évaluer l'équipement généreux de la partie cycle. Pensez donc, le cadre acier en treillis tubulaire reprend les cotes de celui de la 1098 ! La fourche Showa de 43 mm pourrait encore équiper certaines sportives et les étriers radiaux Brembo sont aussi beaux que performants, offrant un excellent dosage. Dès lors, vous comprendrez que la nouvelle Monster ne renie en rien le comportement des Superbike de la marque. Vive de train avant, elle engagerait presque en raison de son poids plume et de sa géométrie sport en entrée de courbe. Elle rentre en courbe avec une sacrée célérité, et le basculement d'un angle à l'autre s'avère on ne peut plus rapide et précis. D'ailleurs, si vous brutalisez le guidon, la Monster vous le fera savoir par des oscillations qui montrent son tempérament finalement très sportif. Côté performance et précision, cette Monster 696 peut en remontrer à d'autre, même à ses sœurs de sang tant elle s'avère affûtée. Au chapitre de la tenue de cap, rien à redire non plus. Rigide, stable sur l'angle, imperturbable sur les grands axes, la Monster 696 pousse encore plus loin les performances de la partie cycle des Monster. L'accord des suspensions se montre à l'avenant. Ferme, il donne la réplique au châssis rigide. De fait, on retrouve ce caractère monobloc typique des Ducati et le "toucher de route" que l'on connaît. Une bosse sur une entrée de courbe : la Monster vous en informe sèchement dans les bras et dans les reins, mais les suspensions travaillent et digèrent le choc... Plus loin, un bitume au grain quasi absent et au grip seulement moyen permet de mettre en valeur la partie cycle Ducati sur ce type de parcours où l'on a parfois de la retenue avec d'autres motos. Notez toutefois que cette précision de fine lame réclame une once de condition physique : Les trains roulants font travailler avant-bras et cuisses.

Avare en sensations


Certains internautes évoquent parfois que le rendement des moteurs est assez figé depuis dix ans. La 696 Monster les fait mentir. Elle développe plus de puissance que la première Monster de 904 cm3 malgré quelques 208 cm3 de moins ! Sachant que la base mécanique reste assez proche et que seuls les périphériques ont évolué (toujours un twin refroidi par air à deux soupapes), c'est une prouesse remarquable. Reste que pour le couple, on ne fait pas de miracle et si la Monster 696 possède une souplesse et une disponibilité appréciable, elle se fait aussi très discrète sur le plan des sensations. Trop pour une machine à l'identité si forte. Les artifices de charme mécanique, comme la boîte à air chantante, ne suffisent pas à coller la banane à chaque relance de l'accélérateur. Pourtant, la moto possède de nombreux atouts : un châssis joueur et même très performant, une bonne vélocité du moteur, un équipement de série à la hauteur du prestige d'un constructeur qui a remporté le championnat MotoGP, une ligne travaillée avec minutie... Autant de recherches et de travail qui ont dû demander des nuits blanches. Mais seul votre avis de potentiel acheteur fera la différence. Car la catégorie des roadsters de moyenne cylindrée regorge d'une offre aussi sexy que complète. Et la Triumph Street Triple 675 peut dormir tranquille grâce à son agrément mécanique inégalable (qui a dit : toutes cylindrées confondues ?). Finalement, l'ennemie jurée de la Monster 696 pourrait se trouver au sein de la famille Ducati elle même. Superbement équipée et vendue 7 915 euros en version standard ou 8 265 € en version plus (avec capot de selle et saute vent), son prix la rapproche d'une S2R 1000 d'occasion de deux ans avec environ 15 000 kilomètres au compteur. Et cette dernière de proposer l'essence même de la philosophie Monster : une ligne épurée, une moto légère et pleine de couple, des sensations visuelles et une banane sous le casque à chaque accélération...

Ducati Monster 696 : A retenir Pratique Prix : 7 915 €, 8265 € en version plus (avec capot de selle et saute vent) Coloris : rouge, blanc perlé ou noir mat Garantie : deux ans Moteur : Le bicylindre en L, à l'architecture si identifiable, adopte les mêmes cotes mécaniques que la 695 Monster. Il conserve les larges ailettes de son refroidissement par air, et sa distribution desmodromique qui remplace les ressorts par des basculeurs afin de limiter l'affolement des soupapes. Le haut moteur reçoit des caches culbuteurs similaires à ceux de la Hypermotard 1100. Les entrailles ont reçu également des attentions, avec un traitement des frictions. Ceci a permis la recherche de puissance et un régime de rotation maximum augmenté, accompagné d'une plus grande vivacité à prendre du régime, justement. Pour aller de pair avec ce gain de performance, la lubrification a été peaufinée. L'embrayage bénéficie de l'APTC afin de rendre son maniement plus aisé. Il dispose aussi d'un système à glissement limité (ou anti-dribbling) issu des sportives de la marque, avec pour objectif de limiter le blocage et le rebond de la roue arrière lors des rétrogradages. L'injection électronique de marque Siemens adopte des corps d'injecteurs de 45 mm. Les silencieux prennent de la hauteur et leur volume total progresse, à l'instar de la boîte à air dont le volume augmente d'un litre (pour atteindre 10 l) ; les écopes sur le réservoir sont placées pour recevoir le maximum d'air. Ces progressions de volume correspondent aux besoins des ingénieurs pour augmenter le rendement tout en respectant les normes, en l'occurrence EuroIII. Depuis deux ans, les révisions des Ducati sont passées à échéance tous les 12 000 km, et l'entretien se voit encore réduit. Partie cycle : De très belle facture, le cadre présente un savant mélange entre le traditionnel cadre en treillis d'acier et une boucle arrière en aluminium. Lors de la première présentation de la Monster 696, cette partie était de couleur grise alu. Elle adopte une teinte sombre sur la version définitive afin de se rendre plus discrète et de moins choquer les assidus du modèle. L'amortisseur, de marque Sachs, s'ajuste en détente et précontrainte à l'aide de commandes accessibles. La fourche est issue du catalogue Showa, et ne présente pas de réglage, même si l'on distingue encore les emplacements pour la mise au point de la détente. Le bras oscillant en aluminium fait considérablement progresser la rigidité à la torsion de l'ensemble. Finition et équipement : La Monster est flatteuse en de nombreux points. Peinture, agencement des plastiques, qualité perçue de l'assemblage, la 696 n'a rien d'un modèle au rabais. La version Dark, autrefois plus avantageuse en tarif, n'est pas prévue pour le moment. Cadre mixte alu et acier, suspensions sérieuses, freinage radical, multiplexage électronique, de la grande diffusion à l'équipement haut de gamme... La clé dispose d'un transpondeur. Le tableau de bord, façon ordinateur de bord informe de la vitesse, du régime moteur, du kilométrage total et partiel, en plus de l'heure, de la température moteur et extérieure, de la tension de la batterie, dispose d'un chronomètre embarqué avec mémoire, du réglage de l'intensité lumineuse... de la fréquence des révisions tous les 12 000 km ; mais les ingénieurs ont juste oublié la jauge à essence. Les fans de technologie seront heureux d'apprendre que la Monster 696 peut recevoir le système d'acquisition de données DDA initié sur la 1098. Les rétroviseurs se montent esthétiques. Le miroir se règle par pression sur celui-ci. La rétrovision reste moyenne. Le capot de selle optionnel s'ôte en enlevant la selle. Prudence si vous l'ôtez à chaud, car les pots sont proches et brûlants. De même, le passager peut se brûler en s'agrippant aux poignées intégrées sous la coque arrière. Comme d'habitude, et c'est navrant, le dessous de selle ne révèle aucun espace de rangement. A croire que les constructeurs ne connaissent même pas le mot "vol". La jante avant seule présente une valve coudée.